Manoir de Voldemort

Je reculai et jetai un regard désolé aux autres^^

Herrior observait la scène d'un air penseur, que se passait il ? Quand allait-on se coucher ? Il avait sommeil ! Rholala c'est pas fini tout ce boucan ?

Devant l'air pensif de certains, ou celui effrayé d'autre. Je m'agenouillais devant le terrible homme (ou ben il y ressemble quand même. Même si je vous accorde que c'est de loin^^).
-Je suis prête pour commencer mes leçons.

Je me plaçais entre Voldemort et Sarah, écartant grand les bras. *Mais qu'est-ce que je faisais là ?* pensais-je.

J'ai levé la tête. Mais quelle courge...

- Sarah, fais pas ça... On peut règler ça par un autre moyen, soufflais-je.

(bon, j'ai l'impression qu'on est pas beaucoup à RP, de plus, je n'ai vraiment pas beaucoup d'inspiration...)

Je levai les yeux au ciel.
-Oui biensur, celui de mourir! Youpiiiiii!
Devant leurs têtes étonnées j'eus du mal à ne pas rire (oui oui bien que la situation ne soit pas HYPER ULTRA MEGA GIGA EXCRÉTERA dôle xD) en finissant de parler
-Il n'y a vraiment que moi qui me soucie de la survie de tout le monde?
Sur ce, je croisais les bras et me postais à côté de Voldemort.
-Hum...Qui m'aime me suit?

Je regardais Sarah et baissais la tête. Ca ne servait à rien. Je reculais d'un pas et jetai un regard mauvais à Vous-Savez-Qui.

Voldemort ricana.
- Ma fille...il me semble que personne ne t'aime dans cette salle.
Je ricanai à mon tour. Ben voyons! Diviser pour mieux régner.
- T'inquiète, lançai-je, Il leur faut juste un temps de réflexion.
...enfin...je l'espérais...

Je poussais un "pff".

- Vous êtes un être abominable ! lançais-je.

Je regardais tout le monde dans la salle, c'était une situation plus que bizarre, avec Voldemort qui parlait de son hypothétique enfant, fille pour plus de précision, Sarah qui était posté à côté de lui d'un air dément, Loufoca qui regardait la scène sans réagir et Victoire planté au milieu de la salle, entre Voldemort et Sarah, bras ballant sans oublier Herrior! Le sale traitre! Qui semblait passif à la scène avec un air un peu dérangé, baillant à s'en décrocher la mâchoire.

Je m’avançais dans la salle et décrochais un regard dur à Sarah, il fallait que je la fasse revenir, maintenant ou jamais.

- Alors comme ça tu optes pour la facilité? Fais comme bon te semble mais moi je reste du côté ou on s'amuse! Sérieusement tu joues à quoi? Tu ne sais même pas ce que tu es en train de faire! Sarah, en te rangeant de son côté cela signifie que tu adhères à ses idées, à son opinion, à tout ce qu'il fait, à put faire et fera. Que tu renonces à tout ce que tu as fais jusque à présent, tu renonces à toi! A la vie que tu t'es crée, tu es prêtes à tout laisser tomber? Tu es sure de toi? Tu te laisses guidée par ta peur! Ne lui fais pas confiance, ce n'est pas car il a des pouvoirs qu'il s'en servira pour te protéger! Et oubli ses beaux discours de père! Tu n'est pas sa fille, c'est impossible, en tout cas pas dans l'âme! En allant avec lui tu vas à ta perte, alors oui, peut être oui moins vite que nous! Mais pire! Personnellement je préfère mourir maintenant et dignement que dans 2 semaines et couverte de honte, en traitresse! Ce n'est pas d'un avenir qu'il parle, mais d'une fin, de sa fin, Voldemort ne créera pas son monde, il détruira simplement celui-ci comme bon lui semble car un être comme lui ne peut pas créer mais seulement détruire! Toi tu peux Sarah, tu peux créer pleins de choses, tu l'a déjà fait, comme de l'amitié, de l'amour. Et mon discourt paraitra peut être un peu trop sentimental, mais il n'en reste que vrai. Si tu choisis ce camps ce n'est pas que toi que tu engages! C'est nous tous, ici présent et même sur la planete entière! Alors réfléchie bien.

Je la regardais droit dans les yeux, j'étais consciente de jouer mon dernier atout

- Si tu vas de son côté c'est que tu est complice de ça! Que tu es d'accord, si tu vas de son côté la première chose que tu détruira avant toi, c'est lui.

Je me tenais droite, le doit pointé droit sur Herrior.

Un coup à prendre ça. OK. Elle jouait la carte sentimentale. Mais bordel qu'est-ce que ça faisait mal. Les sentiments. Des points faibles. Je ne savais pas comment limiter les dégats. Je ne savait plus. Mon idée m'avait parue bonne mais...je n'arrivais plus à y voir clair. Et cette phrase qui résonnait: "La première chose que tu détruira avant toi ce sera lui!".
Résonne. Résonne. Encore. A l'infini. Rhaaa! La nuit porte conseil mais l'aube se lève. L'aurore. La dernière que nous verrons? Si je me rangeai du côté de Voldemort, une envie égoïste, je pouvais compter sur la survie d'Herrior non? Mais condamnai-je les autres? Aurais-je le courage de les condamné? Etais-je si...ville et cruelle?
Je voulu parler mais refermai la bouche quand je compris qu'aucun mot n'en sortirai.
Je jetai un regard à Herrior qui allait décidément finir par s'endormir.
Bien. J'étais à côté de Voldemort.
J'étais experte dans l'art de la surprise.
J'adorais me battre.
Un petit coup déloyal ne tue jamais personne.
Mon coude c'est enfoncé dans le ventre de mon ennemi qui me tapait sérieusement sur les nerfs depuis trop d'années...
Loufoca s'est pliée en deux et avant qu'il ne réagisse, Voldemort pris un énorme poing dans le thorax qui n'a pas du lui faire plaisir vu sa tête.
Tandis qu'il cherchai son souffle, un sourire éclaira mon visage.
- Bien, maintenant que je me sens calme et posée, parlons stratégie, voulez-vous?

A ces mots, et gestes, je faillit m'évanouir de soulagement ! Je pointé ma baguette sur Voldemort en disant :

-On se tire de là ! Ok on est fortes mais mieux vaut le combattre en terre connue!

Je me dirigeai en courant vers la sortie en regardant Sarah, j'étais contente, on avait gagné cette bataille, celle plus dure encore que Voldemort de son cœur, mais les suivantes ?

Je courus à la suite d'Ellana.

- On laisse Herrior ? criais-je.

Je m'arrêtais alors.
-Non! Je refuse!!!

Herrior se dressa et leva ses bras en l'air en les secouant !

- O désespoir des jours sombres et du malheur infernal ! Obscur et infidèles compagnons ! Comment oseriez vous me trahir ainsi ? Commeeeeeeeeeeeeeeeent aurais je put ne pas y penser ! Vous êtes des mécréants ! MÉCRÉANTS ! Et.... et vous êtes... MÉPRISANT, vous êtes vraiment de méchantes femmes ! Rien que pour ça je boude !

Herrior s'assit par terre. Tous les différents sort qu'on lui avait jeté avait coagulé et s'étaient transformé en overdose, se qui le rendit fou.

(et Voldemort ne réagit pas ?^^)

- Euh...

Herrior était vraiment bizarre. Je décidai d'agir à ma manière :

- Stupéfix !

Je ne laissais même pas le temps à Sarah de réagir que je lançais un autre sort :

- Levicorpus !

Herrior se souleva dans les airs.

OK... Il était quasiment abruti ou quoi? Bref. J'allais suivre mes compagnons quand...

Je saisi la fille par derrière. Non mais pour qui elle se prenait? Pour qui? Hein? La dernière fois qu'une fille m'avait frappé, j'avais cinq ans, j'étais à l'orphelinat et elle était (accidentellement, biensur) tombée de la fenêtre de sa chambre. Morte.
Ma femme aussi. Morte.
Ma mère. Morte.
Les Potters. Mort.
Ma fille, cette peste, allait donc...mourir.
-Pas si vite! La fille reste si vous partez!
En ricanant et toussant (décidément je devais avoir une bronchite ou un truc dans le genre, crachats verts, etc...yerk! m'enfin bref), je sortis mon poignard en argent que j'avai systématiquement sur moi, coincé entre mon caleçon (oui oui j'en porte avec la marque des ténèbres dessus!) et mon pantalon et le plaçai sous la gorge de la fille. Pressant un peu plus qu'il ne le fallait pour que son sang commence a perler.
Elle gémit. Bien. Très bien.

Rhaaaa! Mais pourquoi??? Pffff!!!!!

- Non !

Puis, j'eus soudain une idée. Herrior, sous l'emprise de deux sortilèges, dont un qui était "Lévicorpus", je décidai de l'annuler.

- Finite ! lançais-je.

Et Herrior tomba sur Voldemort.

Ok il était peut être tombé sur l'autre mais son pied m'a quand même lourdement assomé et le poignard m'a entaillé profondément la paumette droite... Bravoo... Bon... J'essayai de me relever. Tout tournait. Wow... Calmons nous...
Je souris à Victoire en essayant de maugréer un merci qui ressamblait plus à un rale qu'a autre chose m'enfin bon. Je rejoignais mes amies à quatre pattes et disait fermement.
- M'en fiche. Pars pas sans lui...

- Raah ! Accio Herrior !

Herrior arriva à moi, comme un hibou avec sa lettre.

- Aidez-moi à le porter ! Sarah, utilise le sortilège "Episkey". Ta pomette arrêtera de saigner.

Je souris.
- Episkey!
Ca faisait du bien... Je suivis mes amis. Nous passâmes par la fenêtre pour nous retrouver dans la Grande Salle de Poudlard.

(ente nous, tu passes par la fenêtre du château de Voldemort pour te retrouver dans la grande salle de Poudlard x).. Passons mdr )

(fais ce que ze veux moi xD)

Jade avait touché juste. Il y avait de quoi s'inquiéter. Vraiment surtout q'une silhouette s'avança vers nous...

J'eus un sourire mauvais.
- Comme on se retrouve!!!
Puis, remarquant qu'elles étaient deux.
- Oh! Une nouvelle recrue? C'est trop gentil! vraiment!

Je me retournais d'un coup et observai le nouveau venu de la tête au pieds. Qu'est ce qu'il était moche ! Il avait même pas de nez !
Tout en me demandant comment il faisait pour aller voir des films en 3D, je me tournais vers Sarah.

-Euh, tu le...connais ? lui chuchotai je.

Puis, en voyant qu'elle essayait d'ouvrir la porte, je sentis qu'elle paniquait.

-Qu'est ce que tu attends pour ouvrir la porte ?! la pressai-je.

J'essayai encore et encore...en vain!!!
- Jade, articulai-je péniblement,C'est...LUI.
Etouffant un sanglot de panique, je me rapprochai lentement de Jade. J'étais terrorisée jusqu'à ce que les nerfs lâchent et que je parte dans un fou rire incompréhensible.
- Désolée....C...c'....c'est...plus...f....f..fo....fort que ...moi! Hahahaha
Je me tordis en deux de rire. Mauvaise décision...

Je rugis. Ou meuglai. J'attrapai la fille et la balançai à l'autre bout de la pièce. La petite, qui ne devait pas avoir plus de onze ans, ne me fit même pas pitié et c'est sans scrupule que j'attachai les deux crapules sur deux chaises dos à dos avec les mêmes liens. Je les torturais toute la nuit, que les hurlements et le sang qui coulait me faisait du bien! Ha! Cruauté enivrante! Ma soif de sang me redonnait gout à la vie!
Bien,m'exclamai-je à l'auroreRejoignez moi et j'arrête la torture.